Le blog de Carigrumble: Du qui ressemble en situation

Un vieux truc...

Depuis le début d'année, je n'en suis toujours pas remise, surtout avec les indécences crapules qui en ont découlé...

Grande, très grande nausée... Elle n'est pas près de passer.

Pensée pour eux tous.

(PS: Ça serait bien de lâcher la grappe aux survivants de Charlie aussi, je ne crois pas qu'ils aient demandé à devenir les symboles de quoique ce soit).

Librement inspiré de faits réels. Les personnages et les noms sont fictifs. L'histoire, glauque et sordide, est malheureusement vraie.

 Ce viol m'a été -mal- raconté au téléphone en quelques secondes, et je n'en connais ni les tenants, ni les aboutissants. Le résumé m'a paru suffisant pour que je veuille y réagir et dénoncer cette ignominie.

Les salopards, les pervers et les prédateurs sont partout, ils n'ont pas tous les droits, ne méritent aucune impunité, on ne doit pas minimiser leurs actes. 

Ne pas réagir signifie, à mon sens, donner son accord pour que ça se produise, et se reproduise encore. Ne fermons pas les yeux, n'autorisons pas le "droit de violer".

(PS: Que l'histoire soit arrivée dans un service d'urgences n'a rien avoir avec les grèves actuelles; je soutiens les grévistes et leur souhaite bon courage. Ils ont raison de refuser de négocier une arnaque. Je ne vois pas en quoi le système de santé devrait être rentable au même titre qu'une marchandise. Le personnel soignant n'a pas non plus à payer les frais de ce genre de politique, et ne devrait même pas avoir à négocier des droits qui leurs sont dûs. Qu'on les laisse faire leur boulot, et qu'on cesse de prendre les gens pour des cons.

Mais ceci est une autre histoire...)  

Souvent, la réalité casse un peu l'envolée...

 J'en appelle à ceux à qui c'est arrivé, et que les autres me pardonnent.